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mardi 19 juillet 2011

Critique: Harry Potter et les Reliques de la Mort: Partie 2

Harry Potter et les Reliques de la Mort: Partie 2
Date de sortie: - 15 juillet 2011 (Canada)
- 13 juillet 2011 (France)
Réalisation: David Yates
Avec: Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, Ralph Fiennes et Alan Rickman
Genre: Drame fantastique
Durée: 130 minutes
Classement: - Qc: Général (Déconseillé aux jeunes enfants)
- France: Tous publics

* Attention, quelques révélations sur l'intrigue! (surlignez les trous pour voir le texte manquant)

La fin des classes à finalement sonner à Poudlard pour cet ultime opus de la série la plus lucrative de l'histoire du cinéma: Harry Potter. Tel que l'indique le poster du film, la 2ème partie du septième tome, "Les Reliques de la Mort", souligne l'affrontement final entre Potter et son plus grand ennemi nommé Voldemort. Les attentes sont hautes, très haute. Peut-être même un peu trop...

Accompagné de ses fidèles amis, Ron et Hermione, Harry Potter tentera de mettre un terme à sa lutte contre le maléfique Voldemort qui terrorise Poudlard et ses occupants.

Contrairement à bien d'autres, je n'ai que récemment visionné les autres films de la série pour être prêt avant la sortie de celui-ci, et je dois dire que je suis désormais un grand fan. Chacun des films possède une qualité qui lui est propre, et il m'est difficile de choisir mon favori, même si j'avoue pencher plus pour "La Coupe de Feu". Comme toute bonne conclusion, il est normal de s'attendre à un spectacle haut en émerveillements. Personnellement séduit par les fins de Star Wars, ou encore celle du Seigneur des Anneaux, Harry Potter est une série qui mérite une grande place au sein des meilleurs séries au cinéma.

Mes attentes étaient très hautes face à la réussite de ce film. Comme plusieurs cinéphiles, j'ai adoré la finale du Seigneur des Anneaux et je m'attendais à quelque chose de similaire au point de vue du spectacle et des surprises. La première partie de "Les Reliques de la Mort" sortie en novembre dernier était, selon moi, l'un des meilleurs de la série. Le film avec un rythme beaucoup plus lent que ses prédécesseurs, mais il mettait l'emphase sur les forces et faiblesses de l'amitié qui unie le trio. L'atmosphère était également beaucoup plus sombre et la cinématographie d'Eduardo Serra aux tons sombre et froids, s'harmonisait parfaitement aux évènements qui entouraient le film.

Dans la même optique visuel que la première partie, cette suite directe est un complément essentiel à l'histoire avec des scènes d'action satisfaisantes et très bien conçus. Presque chaque personnages clés de la série à droit à son moment de gloire, ce qui rend l'aventure encore plus palpitante. L'acteur Daniel Radcliffe (Harry) livre une performance plutôt réduite, voir même guindé, avec des émotions absentes. Ses comparses Rupert Grint (Ron) et Emma Watson (Hermione) sont égales à eux-mêmes, c'est-à-dire très bons. Dans son rôle de Neville Longdubat, Matthew Lewis est surprenant et sait se faire remarquer grâce à son énergie à donner une personnalité à son personnage secondaire. Le grand Alan Rickman mérite la palme pour avoir accomplit
un magnifique revers de situation en montrant le côté humain de son personnage lors des brillantes scènes de flashback suivant sa mort. Ralph Fiennes, quant à lui, livre un jeu plutôt morne contrairement à ses autres excellentes performances dans le rôle de Voldemort, et nous présentes un vilain pas trop menaçant pour cette dernière présence dans la peau du personnage.

Les deux-tiers du film s'avère être très réussi, autant du point de vue narratif que visuel. Pour ce qui est du reste, le résultat semble bâclé, privé de toute grandiosité réservé au histoire épique comme celle-ci. Encore une fois, le succès de Potter dans son combat contre le mal est dû pour la majeure partie des "vrais" héros de la série: Ron et surtout Hermione. Mais le problème n'est pas là. Le fameux affrontement final
entre Potter et Voldermort, voir même cette partie entière du film jusqu'à sa toute fin, rappel un peu celui de Luke Skywalker contre l'Empereur Palpatine dans Le Retour du Jedi. Sauf que ce dernier était bien plus mémorable. Au moins, lorsque Luke sort vainqueur, les gens l'acclame et le remercie d'avoir sauvé l'univers. Tandis que dans Harry Potter, personne ne le remercie ou ne lui fait un simple sourire. Seul Hagrid lui fait une courte accolade. Triste et mesquin, non? Et que dire de l'épilogue de mauvais goût remplie de clichés avec Harry et sa bande devenu adulte, accompagnant leur propres bambins pour le train menant à Pourdlard. Bref, une conclusion décevante.

Selon les dires, la fin écrite par l'écrivain J.K. Rowling était soi-disant beaucoup plus grandiose et mémorable que la version cinématographique. Il est vrai que la série des Harry Potter représente l'un des plus grands efforts du cinéma d'aujourd'hui. Vu l'ampleur et la qualité de ses films ainsi que le début de la deuxième partie de Les Reliques de la Mort, j'aurais espéré une finale plus à la hauteur.

Note: 2.5/5

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dimanche 10 juillet 2011

Critique: Green Lantern

Green Lantern (v.f.)
Date de sortie: - 17 juin 2011 (Canada)
- 10 août 2011 (France)

Réalisation: Martin Campbell
Avec: Ryan Reynolds, Blake Lively, Peter Sarsgaard, Mark Strong et Tim Robbins
Genre: Super-héros, Science-Fiction
Durée: 114 minutes
Classement:
- QC: Général (Déconseillé aux jeunes enfants)
- France: En attente de classement

Cet été 2011, nombreux sont les films de super-héros, en particulier ceux dérivés de la populaire maison d'édition Marvel Comics. Du côté de DC Comics, ce n'est que Green Lantern qui est l'heureux élu comme figure de proue. Pour sa toute première adaptation à l'écran, l'acteur canadien Ryan Reynolds a été choisi parmi plusieurs autres candidats tel que Chris Pine, Sam Worthington ou Bradley Cooper, pour revêtir le célèbre costume au couleur de l'espoir. Du côté de la réalisation, Martin Campbell, connu pour ses succès tel que Casino Royale, GoldenEye et Le Masque de Zorro, n'en est pas à ses premiers efforts pour un film de super-héros au budget colossal (si l'on considère James Bond et Zorro comme tel). Est-ce une combinaison gagnante?

Hal Jordan (Reynolds), un pilote d'essai pour l'American Air Force, hérite d'un mystérieux anneau vert qui lui est légué par un extra-terrestre mourant qui lui donne d'étranges pouvoirs, ainsi qu'une place au sein d'une escouade intergalactique voué à maintenir la paix dans l'univers.

Il est un peu ironique de dire qu'un film de super-héros contient trop de clichés. En ce qui à trait à Green Lantern, il est vrai que cette histoire en possède quelques uns dont l'absence du père et le désire constant du fils de vouloir se montrer à la hauteur de celui-ci, ou encore le fait d'avoir des pouvoirs surnaturels. Mais on pourrait aussi dire que ce film essai en quelque sorte de les contrecarrer, et c'est ce qui rend Green Lantern aussi intéressant. Hal Jordan n'a pas besoin de plus de pouvoir pour finalement devenir quelqu'un comme dans Spider-Man. En effet, malgré des hauts et quelques bas, Jordan a déjà une certaine gloire et a déjà l'attention des filles comme on peut le voir dès le début. C'est plutôt le destin qui croise son chemin lorsque cet extraterrestre mourant nommé Abin Sur lui remet l'anneau, et change le comportement de Hal. La raison pour laquelle Hal est choisie, la bravoure, se dévoile vers la fin du film comme n'étant qu'une couverture sur ce qu'il est vraiment. Et c'est qui différencie Green Lantern du fameux thème de l'opprimer transformé en un héros exploiter dans bien d'autres films de super-héros, le fait de devenir une meilleure personne.

Malgré le message positif de ce film, Green Lantern a quelques échecs d'un point de vue d'ensemble qui aurait pu être éviter. Pour ce qui est du choix des acteurs, Reynolds est un choix évident vu sa ressemblance avec Hal Jordan, et aussi pour sa musculature impressionnante. Son jeu rigolo permet d'adopter rapidement le personnage grâce à son impertinence, qui nous montre que même un super-héros peut agir de la sorte. L'acteur ne peut s'empêcher à quelques occasions de jouer le bouffon comme dans la plupart de ses films et cela peut parfois être irritant, mais ses agissements humanise toutefois Hal, le dissociant des autre héros de BD.

Blake Lively, quant à elle, livre une performance fade et sans profondeur contrairement à la signification du nom de famille de l'actrice, qui en anglais, désigne une personne plein d'entrain. Son personnage d'aspirante au cœur du protagoniste n'est qu'un ornement et ne fait avancer en rien le récit. Ce n'est qu'à la toute fin du film que l'on apprend qu'un triangle amoureux entre Carol (Lively) et le scientifique fou Hector Hammond. En plus d'avoir une allure plus parodique que terrifiante lors de sa "transformation", l'acteur Peter Sarsgaard interprète une fois de plus un vilain amorphe (voir Knight and Day). Le choix du père de Hammond, interprété par le talentueux Tim Robbins, est ridiculisé par une évidente trop courte différence d'âge entre les deux acteurs qui est de 13 ans. Mark Strong, un acteur pourtant doué, est complétement mit de côté dans son rôle de Sinestro, et n'est alloué que quelques minces opportunités de montrer son talent.

Un choix curieux mais tout de même compréhensible, Martin Campbell demeure un cinéaste capable de mêler efficacement action et drame, comme le prouve ses œuvres antérieurs. Malheureusement, les efforts constant du réalisateur d'apporter une touche d'originalité à son unique film de science-fiction son ternis par des longueurs et des effets spéciaux parfois très kitsch et pas si bien conçus pour une production atteignant les 200 millions de budget.

Une réussite de point de vue du message sous-jacent et du choix de Ryan Reynolds pour revêtir le costumes du héros. Green Lantern demeure tout de même un bon divertissement avec tristement plusieurs anomalies en bout de ligne.

Note: 2.5/5

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dimanche 26 juin 2011

Critique: Bad Teacher

En ce jour célébrant la fin des classes, quoi de mieux que d'aller au cinoche pour voir un film montrant les dessous du monde de l'enseignement. Je me rappelle étant plus jeune, mes profs avait plutôt l'allure d'une Bianca Castafiore que d'une de Cameron Diaz. Un rêve pour un jeune ado en plein milieu d'un bombardement hormonal? Détrompez-vous! Mis à part son jolie minois, Diaz est en effet un bad teacher!

Lorsque Elizabeth Halsey (Diaz), la pire enseignante au monde, ce fait plaquer par son riche fiancé tout juste avant le mariage, elle n'a qu'un seul but: trouvé un bel homme riche et quitté son travail. Quand le jeune séduisant et richissime remplaçant Scott (Justin Timberlake) débarque dans les corridors de l'école, Elizabeth en fait sa proie. Seul petit hic, sa collègue Amy (Lucy Punch), une enseignante parfaite qui est tout le contraire d'Elizabeth, sera son ultime rivale pour conquérir le cœur de Scott et devenir la meilleure enseignante de l'école.

Il est clair que Bad Teacher, ne recevra pas les éloges des critiques amateur de films d'auteurs. Cependant, le nouveau film du réalisateur Jake Kasdan (Walk Hard), réussi tout de même à dépeindre avec une grande efficacité les pires clichés de l'éducation. La prof paresseuse, la prof hideuse, le prof de sport "tombeur", la prof parfaite et j'en passe. Certes, le film démontre ces différentes personnalités sous un jour plus parodique que réaliste avec ses dialogues vulgaires et ses gags à la Dumb and Dumber. Mais le résultat demeure tout de même un bon divertissement qui vous fera bien rire.

Les charmes de Cameron Diaz ainsi que ses talents de comédienne sont exploités aux maximum. Connu comme étant l'un des actrices les plus rentables de l'histoire d'Hollywood, l'actrice réussi haut la main à porter un film à petit budget évaluer à 19 million de dollars sur ses épaules. Connue surtout pour ses comédies tel que Hot Fuzz, l'actrice anglaise Lucy Punch est parfaitement choisie pour son rôle d'enseignante parfaite. Son visage expressif et son jeu excessif donne de la personnalité à ce personnage complètement délirant. Seul Justin Timberlake ne parvient pas à suivre le rythme effréné de ses collègues. Effacé et sans énergie, le jeune acteur pourtant surprenant d'en d'autres films tel que The Social Network, ne parvient pas à donner vie à son personnage pourtant facilement exploitable.

Bad Teacher fait parti des films qu'on ne peut jugé sans être sûr à l'avance de son intention principale qui est de faire rire. Pour bien apprécié ce film, il suffit de mettre son cerveau à "off" et de se laissé bercer par ce divertissement bien étudié.

Note: 4/5

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dimanche 12 juin 2011

Critique: Super 8

Reconnu pour ses films aux budgets colossales avec comme tête d'affiche les plus grandes stars de l'heure, la période estivale est le moment favori de l'année des cinéphiles affamés de blockbusters. Parmi ceux-ci se trouve Super 8, un film doté d'un budget pourtant minime de 50$ million pour un film "made in Hollywood", et ne met en vedette aucun des grands noms du cinéma. Seuls les noms du réalisateur et scénariste J.J. Abrams (Star Trek, la série Lost) et de Steven Spielberg à la production suffisent pour attirer les plus avides de bon cinéma. Et croyez-moi, vous ne serez pas déçu.

Un hommage aux productions des années 70 de Spielberg, Lucas et les autres, Super 8 raconte l'histoire d'une bande de copains habitant une petite ville d'Ohio qui essai tant bien que mal de terminer leur premier film. Lors du tournage d'une scène, ils seront témoin d'une catastrophe ferroviaire désastreuse qui selon eux, n'est pas qu'un simple accident. À la suite de plusieurs disparitions et évènements inexplicables, la bande tenteront d'élucider le mystère derrière cette mésaventure.

Avec ce poster rappelant ceux de Drew Struzan, dessinateur connu pour les posters de Star Wars et Indiana Jones, on ne peut s'empêcher que ce film aura l'allure "old-school" des films tel que E.T. ou Rencontres du troisième type de Spielberg. Sans être une copie de ses grands classiques, Super 8 réussi à ramener cette nostalgie tant aimée du public. Le film aborde brillamment des thèmes couramment exploités tel que la famille, le premier amour, l'amitié et le courage. Bien sûr l'histoire aura pour certains un air de déjà vu. Mais la grande force de Super 8 se trouve dans sa façon de la raconter.

On retrouve dans chacun des personnages un petit quelque chose de nous-mêmes étant enfant, ce qui permet de s'attacher très rapidement aux personnages, en particulier celui de Joe, le personnage central de l'histoire si prodigieusement interprété par Joel Courtney dans son tout premier rôle. Outre ce nouveau talent au futur fort prometteur, le film jouit d'une distribution de grands talents que forme se talentueux groupe de jeune adolescents qui séduisent par leur par leur chimie contagieuse. Le talentueux acteur plus connu du monde de la télévision Kyle Chandler, est parfait dans son rôle de père vivant très mal la mort soudaine de sa femme, tout comme la jeune Elle Fanning qui adopte très rapidement l'essence de son personnage, la jeune Alice.

Côté technique, J.J. Abrams, prodige de la télé et du cinéma, rempli avec brio son rôle de cinéaste aussi bien à l'écriture que derrière la caméra. Agissant également en tant que producteur avec Spielberg, on sent très bien la signature des ses deux grands noms. La photographie de Larry Fong, pourtant connu pour sa contribution aux films très stylés de Zack Snyder tel que 300 ou Watchmen, surprend par un look plutôt sobre et rétro magistralement réussi. Les plans et les angles de caméra prises par Abrams rappel certes ceux de son mentor, mais apporte lui aussi une touche personnelle grandement apprécié. Les excellents effets spéciaux réalisés par la boîte de George Lucas, "Industrial Light & Magic", viennent mêlés le monde du cinéma traditionnel et moderne de façon admirable.

Les nostalgiques du bon vieux cinéma de science-fiction apprécieront Super 8 pour son côté geek et traditionaliste. Les grands et les petits trouveront un plaisir assuré dans ce film qui selon moi, ce trouve en tête de liste en tant que meilleur film de l'été. Mais que faites vous encore à lire ses lignes, courez vite voir ce film, vous ne savez pas ce que vous manquez!

Note: 5/5

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mardi 24 mai 2011

Critique: Thor

Un autre des nombreux membres de l'équipe des Avengers, le dieu du tonnerre et prince d'Asgard, Thor possède maintenant son propre film. Celui-ci est sans contredis l'un des meilleurs de la série des héros de Marvel Comics.

Héritier du trône de son père le roi Odin d'Asgard (Anthony Hopkins), le prince Thor (Chris Hemsworth) est un puissant et arrogant guerrier banni de sa planète par son père pour ses actes qui ont déclencher une guerre ancestrale. Condamné à être vivre sa peine sur la planète Terre sans aucun de ses pouvoirs, Thor devra apprendre à vivre parmi les humains. Lorsque les forces du mal venant de sa planète natale s'emprènent à la Terre, endroit que Thor chéri désormais, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour les arrêter.

Réalisé par Kenneth Branagh (Hamlet, Frankenstein), ce film de superhéros se démarque non seulement pour ses excellentes scènes d'action, mais également pour ses valeurs. Rare sont les film montrant des superhéros vulnérable réduit à de simples humains. Des film tel que Spider-Man 2 démontrait un superhéros évitant avec difficulté de vivre sans ses pouvoirs pour avoir une vie "normale". Dans Thor, le personnage débarque sur Terre en demeurant persuadé qu'il est toujours le plus fort mais il apprendra bien vite que de simples méthodes peuvent le mettre rapidement K.O. L'homme à l'allure d'un Viking apprendra que les valeurs de l'entraide, de l'amitié et de l'amour sont des valeurs encore plus puissante que la force et les pouvoirs.

Du point de vue du casting, il est rare de voir un film dont les acteurs et actrices sont si bien choisis pour leur rôles. En Thor, Chris Hemsworth crève littéralement l'écran par son physique impressionnant. Son look et son étonnante musculature font de lui le parfait candidat pour ce héros à l'allure d'un viking. Outre son apparence, ce jeune acteur australien démontre une merveilleuse aisance devant la caméra et on sent qu'il a son personnage dans la peau par ses agissements et sa façon d'être. La gagnante d'un Oscar Natalie Portman est toujours aussi talentueuse avec une aisance et un naturel à faire envié. La présence du grand Anthony Hopkins est une fois de plus apprécié par son infatigable charisme en souverain et père de Thor, à qui l'on trouve même parfois une certaine ressemblance. Le casting de soutien composé notamment de Kat Dennings, Stellan Skarsgard, Tom Hiddleston, Colm Feore et Rene Russo est tout aussi satisfaisant.

Thor est un film qui plaira autant au grand qu'au petit par sa qualité exceptionnelle autant du point de vue narratif que du jeu de ses acteurs et actrices. Malgré quelques anomalies aux niveaux des raccords de maquillage, dont la scène dans laquelle un géant d'acier défie Thor, est un de ses quelques exemples qui peuvent être parfois dérangeant. Avec une conclusion cachée après le générique de fin qui annonce l'un des futurs dénoument pour The Avengers, je n'ai pu m'empêcher d'être exciter à l'idée de voir tous ses héros partager l'écran. Espérons que Captain America saura être tout aussi à la hauteur. À suivre!

Note: 4.5/5

mardi 17 mai 2011

Critique: Fast Five

Malgré le désaccord de bons nombre de fans, mon film favori de la série Rapides et Dangereux est le troisième. Contrairement aux autres, Tokyo Drift avait un thème qui le différenciait des autres, le drift. Ses nouveaux personnages apportaient un souffle nouveau à la série qui selon moi, avait largement baissé en qualité avec 2 Fast 2 Furious. Pour Fast Five, les acteurs originaux sont de retour avec de nouveaux venus.

De loin le meilleur de tous, Fast Five débute où Fast and Furious nous a laissés lorsque Brian (Paul Walker) et Mia (Jordana Brewster) tentent de faire échapper Dom (Vin Diesel) de l'autobus le menant tout droit au pénitencier. Arrivé a Rio de Janeiro au Brésil ou le trio se cache des autorités, ils devront se mesurer à un puissant baron de la drogue (Joaquim de Almeida), et à un agent fédéral acharné (Dwayne Johnson) pour être finalement libre.

Le réalisateur Taiwanais Justin Lin a prouvé qu'il pouvait tourné d'excellentes scènes d'action avec les deux autres films précédent celui-ci, et croyez-moi, Fast Five en est remplis. L'impressionnante poursuite à pieds sur les toits des Favelas de Rio en est un des meilleurs exemples. Malgré son talent en cette matière, Lin ne parvient pas à livrer la marchandise pour ce qui est de la principale attraction du film: les voitures. Quasi inexistantes, les courses et poursuites se comptent sur les doigts d'une seule main et ne durent que très peu de temps. Souvent plus invraisemblables qu'autre chose, elles se rapportent plus souvent à l'image de synthèse et aux effets spéciaux plutôt qu'aux prouesses mécanique des voitures comme dans Tokyo Drift.

Avec un scénario qui rappel celui de Italian Job, Fast Five retrouve son efficacité grâce à l'équipe du tonnerre que forment ce groupe d'amis. Tout au long du film on peut sentir que les acteurs ont du plaisir à être ensemble et ce plaisir est transmis à travers leurs personnages, ce qui est grandement apprécié lors du visionnement. Malgré une histoire pas très originale mais tout de même très divertissante, la durée du film qui est de 2h20 ne se fait aucunement ressentir. Le retour des personnages des films précédents tel que Roman (Tyrese Gibson), Tej (Ludacris), Gisele (Gal Gadot) et Vince (Matt Schulze) est apprécié, malgré l'absence de certains tel que Sean (Lucas Black) de Tokyo Drift et Suki (Devon Aoki) de 2 Fast 2 Furious.

En méchant, Joaquim de Almeida est convaincant dans son rôle, cet acteur de talent pourtant étiqueté seulement à des rôles de terroristes ou de baron de la drogue Pour ce qui est du casting principale, Paul Walker et son talent limité joue comme d'habitude le héros au jolie minois sans montrer une once d'effort. Complètement écrasé par Vin Diesel et Dwayne Johnson qui portent tout deux le film sur leurs immenses épaules, les deux acteurs livrent la marchandise en exécutant exactement ce que l'on attend d'eux: joué les gros durs. Son rôle réduit au maximum, Jordana Brewster cède complètement sa place aux mannequin Gal Gadot qui l'emporte dans le rôle de la femme fatale du film, et de femme de tête à une talentueuse nouvelle venue nommé Elsa Pataky qui amène une bonne dose d'humanisme à l'histoire.

La cinématographie au couleurs chaudes, les jolies panoramas de Rio, ainsi que la musique exotiques et les chansons aux rythmes entraînant accompagnent avec brio ce premier film de l'été des plus divertissant. Un plaisir assuré pour les fans de la série et les bons films d'action.

Note: 3.5/5

dimanche 8 mai 2011

Les 20 films à ne pas manquer cet été!

De retour depuis quelques mois d'absence, moi Cinéman, reviens en force avec les dernières nouvelles sur le cinéma, ainsi que la critique de nombreux films. J'ai décidé d'étudier personnellement le cas sur la poignée de films attendus pour la saison estivale, et de vous faire profiter de mes suggestions pour les meilleurs films à venir.


Mai:

Fast Five
(v.f. Rapide et Dangereux 5 (Québec), Fast and Furious 5 (France)
Date de sortie: 29 avril 2011 (Canada/USA), 4 mai 2011 (France)


Les héros aux bolides modifiés Dom (Vin Diesel) et Brian (Paul Walker) sont de retour pour une cinquième aventures qui promet d'être encore plus palpitante que les autres. Suivant les évènements du quatrième opus, Dom, Brian et Mia tentent d'échapper des mains de la justice en planifiant un dernier coup qui leur promet la liberté. Seul petit hic, le trio doit confronter un homme d'affaire véreux (Joaquim de Almeida), ainsi qu'un agent fédéral prêt à tout pour les empêcher (Dwayne Johnson). De retour aux commandes pour une troisième fois, le réalisateur Justin Lin promet une suite encore plus palpitante que les précédentes.


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Thor
(v.f.)
Date de sortie: 6 mai 2011 (Canada/USA), 27 avril 2011 (France)





Le dieu du tonnerre fait son entré sur les écrans mondiaux pour la saison estivale. Réalisé par Kenneth Branagh (Hamlet), l'histoire raconte celle de Thor (Chris Hemsworth), un guerrier arrogant de la planète d'Asgard banni par son père Odin (Anthony Hopkins) pour ces actes qui ont déclencher une guerre ancestrale. Sa punition, être condamné à croupir parmi les humains. Lorsque les forces du mal venant de sa planète natale s'emprènent à la Terre, endroit que Thor chéri désormais, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour les arrêter.


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Priest (v.f. Québec Prêtre)
Date de sortie: 13 mai 2011 (Canada/USA) 10 mai 2011 (France)

Adapté du célèbre manga japonais, Priest raconte l'histoire d'un prêtre guerrier (Paul Bettany) vivant dans un monde en guerre opposant les humains aux vampires, se retourne contre l'église afin de retrouver sa nièce (Lili Collins) kidnapper par des vampires meurtrier. Le film est également composé d'un casting de soutien talentueux dont Maggie Q, Karl Urban et Christopher Plummer.







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The Beaver (v.f. Québec/France Le complexe du castor)
Date de sortie: 6 mai 2011 (Canada/USA) 25 mai 2011 (France)


Présenté en hors compétition au prochain Festival de Cannes, The Beaver raconte l'histoire d'un père de famille déprimé qui adopte un castor en guise de marionnette pour communiquer ses sentiments à ses proches. Pour sa troisième réalisation, Jodie Foster, qui tient également le premier rôle féminin, a décidé d'offrir le rôle titre à Mel Gibson malgré ses récents déboires autant avec la justice que dans sa vie privée. Avec une carrière autant à la dérive, ce film espérons-le, servira de tremplin pour un nouveau souffle à cet acteur aussi talentueux devant que derrière la caméra.




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Pirates of the Caribbean: On Stranger Tides
(v.f. Québec/France Le Pirates des Caraïbes: La Fontaine de Jouvence)
Date de sortie: 20 mai 2011 (Canada/USA) 18 mai 2011 (France)

Fidèle au poste pour une quatrième fois, Johnny Depp reprend les traits du pirate Jack Sparrow qui cette fois-ci se lance dans une quête pour trouver la célèbre Fontaine de Jouvence. Durant son aventure, Jack retrouvera Angelica (Penelope Cruz), une ancienne flamme qui tente elle aussi de mettre la main sur la Fontaine. Leur union est-elle simplement amoureuse ou ce sert-elle de Jack pour arriver à ses fins? L'excellent Geoffrey Rush ainsi que Kevin R. McNally sont également de retour dans leurs rôles respectif, tandis que d'autres acteurs tel que Ian McShane, Sam Claffin et la française Astrid Berges-Frisbey s'ajoutent à la nouvelle distribution. Le réalisateur Rob Marshall (Chicago, Memoirs of a Geisha) prend la place du metteur en scène laisser vacant par Gore Verbinski.

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The Hangover Part II (v.f. Québec Lendemain de veille 2 / France Very Bad Trip 2)
Date de sortie: 26 mai 2011 (Canada/USA)/ 25 mai 2011 (France)



Eh oui, la meute composé de Phil (Bradley Cooper), Stu (Ed Helms) et Alan (Zack Galifianakis) est de retour pour un deuxième lendemain de veille, cette fois-ci à Bangkok en Thaïlande pour le mariage de Stu. Pour éviter toutes mésaventures comme à Las Vegas quelques années auparavant, Stu organise une petite fête toute simple avant la cérémonie. En regardant l'affiche, ont se doute bien que tout ne s'est pas passé comme il l'avait prévu!





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Kung-Fu Panda 2 (v.f.)
Date de sortie: 26 mai 2011 (Canada/USA) 15 juin 2011 (France)



Le panda expert en Kung-Fu le plus célèbre de monde revient casser la baraque pour une deuxième fois cet été. Tout juste fier d'être devenu le guerrier qu'il souhaitait devenir, voilà que le rêve de Po (Jack Black) est chambouler par Lord Shen (Gary Oldman) un paon albinos désireux de conquérir la Chine. Po décide de rassembler ses amis les Cinq Cyclones composé de Tigresse (Angelina Jolie), Grue (David Cross), Mante (Seth Rogan), Vipère (Lucy Liu) et Singe (Jackie Chan) pour vaincre la menace.




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Midnight in Paris (v.f. Minuit à Paris)
Date de sortie: 20 mai 2011 (Canada/USA) 11 mai 2011 (France)


Perçu comme étant le retour de Woody Allen à ses comédies romantiques traditionnelles, Midnight in Paris raconte l'histoire d'un jeune couple, Gil et Inez (Owen Wilson et Rachel McAdams), visitent Paris avant de se marier. Lors de ses promenades dans la Ville-lumière, Gil fait de nombreuses rencontres inattendues qui lui donneront le goût d'avoir une autre vie que la sienne. Avec son affiche inspirée des couleurs du peintre Vincent Van Gogh, ce film promet par son originalité ainsi que par son casting tout aussi coloré composé également de Adrien Brody, Michael Sheen, Marion Cotillard, Gad Elmaleh, Katie Bates, Léa Seydoux et Carla Bruni.

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Juin:

X-Men: First Class (v.f. Québec X-Men: Première Classe/ France X-Men: Le Commencement)
Date de sortie: 3 juin 2011 (Canada/USA) 1 Juin 2011 (France)



Après une série brillamment débuté par Bryan Signer mais essoufflée en cours de route par Brett Ratner, voici que c'est Matthew Vaughn (Kick-Ass, Stadust et Layer Cake) de prendre les commandes. Se tournant cette fois-ci vers l'origine d'une relation amicale entre Charles Xavier et Erik Lehnsherr,(Professeur X et Magneto pour les intimes), et leurs idées de créer une école et une équipe pour humains aux super pouvoirs. Livrant un combat pour sauver la Terre d'une destruction imminente, leur relation s'assombrira au fil du temps créant ainsi une guerre opposant les bons des mauvais mutants. À voir absolument!

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Super 8 (v.f.)
Date de sortie: 10 juin 2011 (Canada/USA) 3 Août 2011 (France)



Faisant référence à la caméra 8 mm souvent utilisé par les apprentis cinéastes, les gourous de la télévision et du cinéma J.J. Abrams et Steven Spielberg allient leurs forces pour un film à la saveur des E.T. et de Rencontres avec le Troisième Type. Dans un petite ville de l'Ohio en 1979, un jeune garçon et sa bande d'amis toune un film en Super 8. Témoin d'une catastrophe ferroviaires foudroyantes, la bande ne tarderont pas à croire que tout cela est bien plus qu'un simple accident lorsque plusieurs disparitions et évènements inexpliqués se produisent. Avec une campagne de promotion plutôt discrète sur les détails entourant l'histoire du film, Super 8 promet nombreux rebondissements.

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The Tree of Life (v.f. L'arbre de Vie)
Date de sortie: 17 juin 2011 (Canada) 16 mai 2011 (France)



Dernière œuvre du grand Terrence Malick (Les Moissons du Ciel, La Mince Ligne Rouge), The Tree of Life raconte l'histoire de Jack, un enfant âgé d'une dizaine d'années vivant dans un petite ville du Texas des années 50. Élevé par un père autoritaire (Brad Pitt) et une mère aimante et chaleureuse (Jessica Chastain), Jack se verra contraint de partager cette amour avec ses deux nouveaux petits frères, et de faire face à l'individualisme forcené de son père obsédé par la réussite de ses trois fils. Un évènement tragique viendra perturber le cercle familiale déjà fragile. Sélection officielle à la compétition au prochain festival de Cannes, ce nouveau film de Malick promet du grand art sur les écrans de cet été.

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Green Lantern (v.f.)
Date de sortie: 17 juin 2011 (Canada/USA) 3 août 2011 (France)


Après Blade Trinity et Wolverine, voilà que l'acteur d'origine Canadienne Ryan Reynolds incarne pour la troisième fois un héros de bande dessinées. Avec une bande-annonce qui ne me dise rien qui aille et un costume en image de synthèse, je demeure plutôt perplexe face à cette prochaine adaptation du héros de chez DC Comics. Malgré un réalisateur pourtant très talentueux, Martin Campbell, qui a livré des films tel que Goldeneye, The Mask of Zorro et Casino Royale, je dois dire que j'ai très peu d'espérance envers le superhéros à la couleur d'un sac recyclable. Quant pensez-vous?



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Cars 2 (v.f. Québec Les Bagnoles 2)
Date de sortie: 24 juin 2011 (Canada/USA) 27 juillet 2011 (France)


De retour dans un garage...ou plutôt dans un cinéma près de chez vous, les bagnoles les plus vivantes du monde reviennent sur les écrans cet été. Réalisé par John Lasseter, le fondateur de Pixar lui-même, Cars 2 suit les nouvelles aventures du champion de course Lightning McQueen et son ami Mater, dont la participation de Lightning au tout premier Grand Prix Mondial. Remplis de rebondissements et autres évènements imprévus, Cars 2 est LE film d'animation de l'été à voir à tout prix!





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Bad Teacher (v.f. Québec Sale Prof)
Date de sortie: 24 juin 2011 (Canada/USA) 27 juillet 2011




La superstar Cameron Diaz et son ex-petit copain Justin Timberlake font équipe dans cette comédie sur l'enseignement. Après s'être fait larguer par son copain, une enseignante grossière et vulgaire tente de panser ses douleurs en ce lançant dans une lutte à la séduction pour un enseignant très populaire auprès de la gente féminine. Une comédie avec du mordant qui prévoit d'être hilarante à souhait!





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Juillet:


Transformers: Dark of the Moon (v.f. Transformers 3: La Face Cachée de la Lune)
Date de sortie: 1 juillet 2011 (Canada/USA) 29 juin 2011 (France)


Nouveau robots et nouvelle copine, le héros de la série Tranformers Sam Witwicky (Shia LaBeouf) et ses Autobots feront face à un vaisseau Cybertronien accoster sur la Lune. Ce vaisseau contient des secrets pouvant jouer un rôle décisif dans la lutte contre les Décepticons. De retour derrière la caméra pour clore la série, la maître de l'action et des explosions Michael Bay promet aux fans un bien meilleur film que le précédent. Absente au rendez-vous suite aux crêpages de chignon avec le réalisateur, Megan Fox cède sa place à la jolie Top Modèle de chez Victoria's Secret, l'anglaise Rosie Huntington-Whiteley.



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Harry Potter and the Deathly Hallows: Part II
(v.f. Harry Potter et les Reliques de la Mort: Partie 2)
Date de sortie: 15 juillet 2011 (Canada/USA) 13 juillet 2011 (France)


Pour le dernier opus de la série créer par J.K. Rowling, Harry Potter, Ron et Hermione retourne à Hogwarts pour y affronter Voldemort. Tous de retour dans leurs rôles respectifs, les acteurs et actrices ainsi que le réalisateur des quatre derniers films David Yates viennent clôturer la série la plus prolifique de l'histoire du cinéma. Attendu dans tous les écrans de cinéma du monde, ce dernier film mettant en vedette Harry Potter battra autant de records qu'il y aura de fans tristes lorsque les rideaux se refermeront. devant leurs yeux. Comme le dit un sage un beau jour, toute bonne chose à une fin...


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Captain America: The First Avenger (v.f. Québec Captain America: Le Premier Vengeur)
Date de sortie: 22 juillet 2011 (Canada/USA) 17 août 2011 (France)


Le tout premier superhéros de l'équipe des Avengers, Captain America, le super militaire de la deuxième guerre mondiale débarque sur les écrans cet été. Après s'être fait refuser pour le service militaire en raison de sa petitesse et son corps chétif, Steve Rogers devient volontaire pour une expérience scientifique Top Secrète. Transformé en un homme plus grand et plus fort, Steve devient Captain America, un héros de guerre devenant symbole de Liberté et des valeurs Alliés contre les Nazis et son ennemi juré Red Skull.



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Cowboys & Aliens (v.f. France Cowboys & Envahisseurs)
Date de sortie: 29 juillet 2011 (Canada/USA) 31 août 2011 (France)


Après l'immense succès de Iron Man 1 et 2, le réalisateur Jon Favreau demeure dans l'univers des comic books avec son nouveau film. Un mélange de western et de science-fiction, ce film hybride se situe en 1873 dans l'Arizona en plein milieu d'un conflit entre Cowboys et Apaches. L'arrivée inattendue d'un vaisseau spatial viendra perturber la rivalité entre les deux clans, et les fera s'unir pour la survie de leur peuple. Mettant en vedette deux des plus grandes stars du cinéma, Daniel Craig et Harrison Ford ainsi que les talentueux Sam Rockwell et Olivia Wilde, Cowboys & Aliens est sans aucun doute l'un des films les plus attendus de l'été.


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The Smurfs (v.f. Les Schtroumpfs)
Date de sortie: 29 juillet 2011 (Canada/USA) 3 août 2011 (France)


L'adaptation de la célèbre bande dessinée du belge Peyo, arrive sur les écrans pour l'été 2011. Fait en image de synthèse, ses petits bonshommes bleus se retrouve transportés dans la Grosse Pomme lorsque le méchant Gargamel (Hank Azaria) les poursuis. Arrivé dans le monde des humains en atterrissant en plein milieu de Central Park, les Schtroumpfs aidé de deux humains (les stars de la télé Neil Patrick Harris et Jayma Mays) tenteront d'échapper des griffes de leur ennemis juré et de retourner dans leur monde.




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Août:

Rise of the Planet of the Apes
(v.f. Québec La Montée de la Planète des Singes, France La Planète des Singes: Les Origines)
Date de sortie: 5 août 2011 (Canada/USA) 10 août 2011 (France)


Eh oui...une autre ancienne série de films à succès revisitée par Hollywood, cette fois-ci sous forme de prequel au film culte de 1968. Optant pour la même méthode de capture utilisé pour Avatar mouvements au lieu des traditionnel costumes primates, le studio digital australien WETA se chargera d'animer les singes. De retour dans son ensemble en lycra couvert de petits réflecteurs, Andy Serkis (alias Gollum) sera le maître d'œuvre pour les mouvements. Convaincu d'avoir trouver le remède contre la maladie d'Alzheimer, un jeune scientifique (James Franco) fait la grave erreur de tester l'antidote sur des singes. Résultat: l'intelligence de ses primates seront décuplé et...vous vous doutez de la suite!

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